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Présentation

  • : Le blog de Bouna Ahmeth Fall
  • : Mon blog cherche à vulgariser la sociologie rurale au Sénégal. Il me permet, en même temps, de mettre en ligne mes différentes activités pédagogiques à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis. De temps en temps, je présente quelques personnalités fortes de l'UGB qui ont gagné mon estime grâce à leur engagement pour la connaissance.
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Profil

  • Bouna Ahmeth FALL
  • Ancien élève du lycée Abdoulaye Sadji de Rufisque et ancien lauréat au Concours Général de Philosophie des classes de Terminal, Bouna Ahmeth Fall est sociologue et épistémologue des sciences sociales.
Il a été formé de la Première année au Doctorat à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Très attaché à cette institution, il y enseigne les sciences sociales depuis dix neuf ans. 
Actuellement ses recherches portent sur les relations Intergroupes et les représentations sociales. 
Dans la société wolof sénégalaise il mène des études qui s'intéressent aux phénomènes liés aux hiérarchies sociales (groupes dominants et dominés et dynamiques de l'identité sociale).
  • Ancien élève du lycée Abdoulaye Sadji de Rufisque et ancien lauréat au Concours Général de Philosophie des classes de Terminal, Bouna Ahmeth Fall est sociologue et épistémologue des sciences sociales. Il a été formé de la Première année au Doctorat à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Très attaché à cette institution, il y enseigne les sciences sociales depuis dix neuf ans. Actuellement ses recherches portent sur les relations Intergroupes et les représentations sociales. Dans la société wolof sénégalaise il mène des études qui s'intéressent aux phénomènes liés aux hiérarchies sociales (groupes dominants et dominés et dynamiques de l'identité sociale).

Ce blog cherche à vulgariser la sociologie rurale au Sénégal. Bonne lecture!

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14 avril 2013 7 14 /04 /avril /2013 12:13

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La famille contemporaine ne serait qu’une forme dégradée de la famille paysanne ; une sorte de ruine sociale, dont tout le charme tient à l’architecture ancienne qu’elle évoque. Groupe domestique : groupe constitué par les gens qui vivent selon les expressions anciennes. La société paysanne organise l’essentiel de la vie économique au sein des groupes domestiques. Le vocable du groupe domestique met l’accent sur l’ensemble des gens vivant dans la maison et évoque à la fois l’économie domestique qui répond au besoin du groupe, et le domaine qui le fait vivre. Deux caractéristiques essentielles du groupe domestique paysan : sa stabilité et son fondement patrimonial. Pour exister, le groupe domestique doit disposer de terre et de disposition de la terre. Les biens se transmettent par l’héritage, et la position sociale par la succession. La logique du lignage l’emporte dans la succession. La logique de la maison l’emporte sur celle du lignage. Dans les systèmes à lignage ou à parentèle, le principe de parenté, cognatique ou agnatique, l’emporte. Dans les systèmes à maison, c’est le principe résidentiel qui l’emporte. La maison, le lignage ou la collectivité villageoise sont, pour des sociétés paysannes, les trois paradigmes sociaux fondamentaux.

  • Familles indivises

Les communautés « taisibles » du centre de la France et la « zadrouga » des Slaves du Sud fournissent deux exemples qui se prêtent à l’analyse du type le plus achevé du groupe domestique paysan. Elles s’opposent à la communauté « expresse » qui de se contracte « pour le fait de marchandise » et à « l’affrèrement » par lequel deux frères décident de s’associer selon certaines règles et conditions prévues au contrat passé devant un notaire. Le fonds de la communauté comprend les terres, le cheptel et la caisse commune. Seuls les hommes sont véritablement membres de la communauté. La « zadrouga » des Slaves du Sud présente les mêmes caractères que la communauté divisible. Dans certaines régions et à certaines époques, elle représentait le mode dominant d’organisation sociale de la paysannerie. L’indivision du patrimoine entraîne l’indivision de la famille et la perpétuation du groupe domestique. Les différentes tâches et les différentes positions dans la hiérarchie de groupe sont attachées aux différents rôles. L’organisation du groupe est immémoriale. Des groupes domestiques de ce type peuvent vivre en autarcie sur presque tous les plans.

  • La famille-souche

Pour assurer la continuité de la maison et éviter à la fois la surcharge et la division du patrimoine, chaque génération doit être représentée par un couple, et un seul, qui assure la transmission de l’héritage au couple de la génération suivante. La famille-souche assure, de la même manière que la famille indivise, la continuité du groupe domestique.

  • Droit romain, code civil et diversité des coutumes successorales

La continuité du groupe domestique de l’un ou l’autre type suppose inaliénabilité et indivisibilité du patrimoine, ce qui s’oppose à deux principes du Droit romain ; droit de propriété individuel et total qui implique que nul n’est tenu de rester dans l’indivision. Les régions du droit coutumier se sont soumises plus rapidement au code civil que les régions du droit écrit. La règle juridique, qui assure l’intangibilité de l’avantage, est l’exclusion des enfants dotés. Dans un autre cas, l’enfant doté peut opter : soit conserver son bien et ne pas venir à la succession, soit rapporter sa dot à la masse en vue d’un partage l’égal avec ses cohéritiers.

  • Diversités des groupes domestiques

La règle successorale peut renforcer l’égalité des groupes domestiques ; mais à l’inverse, elle suscite des stratégies d’alliances qui produisent des inégalités. Rares sont les sociétés paysannes égalitaires, sauf si la terre est propriété collective. Plus le groupe domestique est potentiellement fort, plus l’inégalité est probable. L’absence de patrimoine ou un patrimoine réduit à une maison et à un lopin de terre excluent la constitution et la perpétuation d’un groupe domestique large. Les études de démographie historique montrent que l’éventail de la répartition entre les différentes situations domestiques varie considérablement de région à région et au cours du temps dans la même région. Dans les sociétés paysannes, toute la vie économique est organisée au sein des groupes domestiques. L’agriculture paysanne est fondée sur une appropriation relativement stable d’un terroir limité et sur un système de production relativement complexe. Dans les sociétés lignagères, l’identité de chacun est fixée par son lignage plutôt que par sa « maison ».

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10 novembre 2011 4 10 /11 /novembre /2011 11:44

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Testament d'un paysan-journaliste". C'est vrai que le titre peut être ressenti comme un rideau qui va tomber sur la scène d'une vie, mais lorsque l'on connait l'auteur, on sait qu'il est de ceux dont la vocation, en dépit de l'âge, n'est pas de pantoufler au coin du feu. Jacques Faine est de ceux pour qui l'engagement en faveur du milieu rural et de sa pièce maîtresse qu'est l'agriculture, ne se flétrit pas avec les ans. Ce qui au demeurant eut été un grand dommage pour un journaliste qui a vécu les lendemains de la seconde guerre mondiale et la révolution pas toujours silencieuse du monde paysan, depuis sa Normandie natale au sud-ouest au sein duquel il s'est depuis longtemps posé. Ce livre, dont la parution est imminente sous la houlette de l'Association Mon village Demain dont il est en charge de la communication, est tout un programme, et il s'annonce comme un acte important dans la carrière de l'auteur, et malgré les années, il ne sera sans doute pas le dernier. Jacques Faine fourmille encore d'idées et de projets pour que ce milieu rural qui lui est cher, et qu'il a vu se transformer notamment en accueillant de nouvelles populations ignorantes des choses de la campagne, ne soit pas, avec ses habitants, le parent pauvre de la société de demain.

Appel de Caylus- Dans son livre il semble tirer du passé des leçons pour l'avenir, notamment à travers son cas personnel "de petit paysan normand élevé au cul des vaches", passé au journalisme, mais aussi de la rive gauche de l'estuaire de la Seine, aux Causses du Quercy en s'établissant à Caylus. Caylus devenu aujourd'hui le symbole de la nouvelle ruralité que prône Mon Village Demain. Jacques Faine suggère même "un appel de Caylus" qui pourrait être à l'origine du sursaut, voire d'une meilleure concertation des structures qui s'intéressent à la ruralité. Souhaitons que ce renouveau se produise.

Jacques Faine a été journaliste à Paris-Normandie de 1949 à 1961, puis il est venu dans le sud-ouest et au journal Sud Ouest, ou il a été en charge de responsabilités importantes au sein de la rédaction. Il a également collaboré à de nombreux titres nationaux. Il a présidé l'AFJA (Association Française des Journalistes Agricoles) de 1971 à 1974 et de 1979 à 1982, et il a été le fondateur et président du CEFPIA (Centre d'Etude et de Formation pour l'Information Agricole). Il a également contribué, surtout en matière de communication, à des associations tournées vers la défense des territoires telles que Ville Campagne, Pays d'Aujourd'hui, et désormais Mon Village Demain. Source: http://www.paysud.com/Jacques-Faine-un-livre-au-service-du-monde-rural_a1207.html?print=1

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5 juin 2008 4 05 /06 /juin /2008 20:33


Université Gaston berger de Saint-Louis

Ufr de Sciences économiques et de gestion

Filière Gestion D’Entreprise agricole

Troisième Année

 

 

                                                                 

                                                                                              Année académique 2007-2008

 

Sociologie rurale : Cours

Dr. Bouna Ahmeth Fall

 

 

 

 

Examen Première session

           

Mardi 13 Mai 2008 8H30-11H30

 

Veuillez répondre à ces quatre questions de synthèse par une argumentation assortie d’une réflexion critique, répondant à la problématique donnée dans l’intitulée, en faisant appel à vos connaissances personnelles et acquises dans le cours. Evitez toute considération sans rapport explicite avec les questions. Il sera tenu compte dans l’évaluation de la clarté de l’expression et du soin apporté à la présentation.

 

Question 1: Pourquoi le monde rural ne peut-il pas échapper à une analyse systémique?

 

Question 2: En quoi la rationalité paysanne reste-elle problématique pour la sociologie rurale ?

 

Question 3: Pourquoi toute recherche sociologique en milieu rural doit-elle être une tentative de réponse à une question de départ ?

 

Question 4: Analysez le rôle majeur de la pluriactivité dans les mutations sociologiques de l’agriculture sénégalaise.

 

 

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14 janvier 2008 1 14 /01 /janvier /2008 10:23

Mercredi 

Université Gaston berger de Saint-Louis

 

Ufr de Sciences appliquées et de technologie

 

Ufr de Sciences économiques et de gestion

 

Deug de mathématiques appliquées et sciences sociales

 

Première année

 

                                                                 

 

                                                                                              Année académique 2007-2008

 

Sociologie : Cours et TD

 

Dr. Bouna Ahmeth Fall

 

                                                                                                             

 

 

 

 

Contrôle des connaissances

 

            

Mercredi 9 Janvier  2008 8h-10h

 

 

 

 

 

 

 

Question 1 (5 points) 

 

Exposer le processus et le contexte qui ont permis à la sociologie de concrétiser son projet cognitif au XIXè siècle.

 

 

Question 2 (5 points) 

 

Pourquoi les « pères fondateurs » de la sociologie sont-ils considérés comme des « déserteurs » ?

 

 

Question 3 (5 points) 

 

Max Weber invite les sociologues à privilégier, dans leurs études de l’action sociale, le sens que l’acteur social donne à ses actes. Explicitez ce précepte épistémologiques et dites ce que vous en pensez en faisant appel à vos connaissances personnelles et acquises dans le cours.

 

 

Question 4 (5 points)   

 

Dans sa définition du fait social, Emile Durkheim fait une place importante à deux notions essentielles. Précisez celles-ci et illustrez votre réponse par des exemples précis.

 

 

 

 

 

                                                  Bon courage !   

 

 

 

Université Gaston berger de Saint-Louis

 

Ufr de Sciences appliquées et de technologie

 

Ufr de Sciences économiques et de gestion

 

Deug de mathématiques appliquées et sciences sociales

 

Deuxième  année

 

                                                                 

 

                                                                                              Année académique 2007-2008

 

Sociologie : Cours et TD

 

Dr. Bouna Ahmeth Fall

 

                                                                                                             

 

 

 

 

         Contrôle des connaissances

 

         Lundi 14 Janvier 2008 8h-10h

 

 

 

 

 

 

 

Question 1 (5 points)

 

Expliquer, en vous servant d’exemples précis, les trois principes qui sont à la base du modèle interactionniste.

 

 

Question 2 (5 points) 

 

En quoi, dans les théories de l’ « acteur stratège », le pouvoir est-il considéré comme le fondement de l’action sociale ?

 

 

Question 3 (5 points) 

 

Montrer que l’habitus se forme d’avoirs qui se transforment en être.

 

 

Question 4 (5 points)   

 

Pourquoi les acteurs sociaux développent-ils des stratégies de distinction sociale pour la symbolisation de la qualité sociale ?

 

 

 

                                                  Bon courage !            

 

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10 décembre 2007 1 10 /12 /décembre /2007 16:16
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9 novembre 2007 5 09 /11 /novembre /2007 11:50
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3 octobre 2007 3 03 /10 /octobre /2007 11:34

Si

La sociologie est confrontée à diverses difficultés dans son entreprise de faire science, ce qui se retrouve de nos jours dans ses questionnements théoriques, méthodologiques et épistémologiques. Le rural en tant qu’objet scientifique, est un baromètre de ces difficultés : il interpelle la sociologie dans sa démarche historique par rapport à ces trois dimensions. Au même moment, et comme les thématiques rurales sont inscrites au profond de notre rapport à l’environnement, qu’il soit social ou non, la sociologie s’est presque résignée à appréhender cet objet, ni complètement naturel, ni totalement social, par toutes sortes de démarches. Ce passage obligé par le rural montre la volonté de la sociologie à renouveler ses démarches analytiques. C’est la prise de position que nous désirons aborder ici.

Le rural est un objet sociologique, quelles sont les preuves de ce statut ? Trois éléments semblent importants : un certain nombre de sociologues se mobilisant pour cet objet ; des cadres d’étude ou objets empiriques et/ou sociologiques liés à ce concept ; enfin un corpus théorique propre à rendre compte des faits liés à la question rurale.

Des sociologues qui revendiquent leur penchant pour le rural, il y’en a relativement beaucoup.

Quant aux objets empiriques, ils sont plus nombreux que les sociologues ruraux prêts à les traquer.

Pour les théories, on trouve plusieurs approches tournant autour du changement social et des processus sociaux donc de la mise en question de la société par la nature.

Il y a ainsi bel et bien de quoi aborder une sociologie rurale qui arrive à réunir des chercheurs, des objets et des théories.
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30 septembre 2007 7 30 /09 /septembre /2007 11:15

Références bibliographiques 

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Barel (Y.), in Marié (M.) (Postface), 1982. Un territoire sans nom. Pour une approche des sociétés locales. Paris, Méridiens, 172p.

Barthez (A.), 1993. « De la sociologie rurale à la fonction critique de la sociologie : l’agriculture dans les sciences sociales : au-delà des spécificités » in Cahiers d’économie et sociologie rurale, 1993, n°29, pp. 75-78

 

Billaud (J.-P.), 1999. « Sociologie rurale » in Acoun (A.) et Ansart (P.), Dictionnaire de sociologie. Paris, Le Robert Seuil, pp 462-465.

 

Blanckaert (C.), (sous la direction de), 1996. Le terrain des sciences humaines (XVIIIe-XXe). Paris, Harmattan, 404 p.

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Boudon (R.) et al., 1990. Dictionnaire  de sociologie. Paris, éditions Larousse, 237p.

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Descola (P.), 1994. « Rétrospections » in Gradhiva n°16, pp. 15-27

Diarassouba (V.C.), 1984. L’évolution des structures agricoles du Sénégal. Déstructuration et restructuration de l’économie rurale. Paris, Cujas, 299p.

Diop (A.B.), 1991. Les paysans du Bassin arachidier, conditions de vie et comportements de survie. Bordeaux, IEP, 18p.

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Dupré (G.), 1991. Savoirs paysans et développement. Paris, Karthala-ORSTOM, 524p.

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Grignon (C.) et Weber (F.), 1993. « Sociologie et ruralisme ou les séquelles d’une mauvaise rencontre » in Cahiers d’économie et de sociologie rurale, n°29, pp. 59-74

Hesseling (G.), 1985. Histoire politique du Sénégal. Paris, Karthala,  248p.

Jean (B.), 1974. Sociologie rurale. Québec, Ministère de l’éducation, n° doc : 38-2733, 83p.

 

Jollivet (M.), 2001. Pour une science sociale à travers champs. Paysannerie, ruralité, capitalisme (France XXe siècle). Paris, Editions Arguments, 400p.

Jollivet (M.), 2003. « Comment se fait la sociologie : à propos d’une controverse en sociologie rurale » in Sociétés contemporaines, n°49-50, pp. 43-60

Jollivet (M.), 2003 « La “vocation actuelle” de la sociologie rurale » in Ruralia[En ligne] 1997-01-Varia, Mis en ligne le 01 Janvier 2003. Disponible sur : http://ruralia.revues.org/document6.html. Référence du 11 Novembre 2006

Kayser (B.), 1990. La renaissance rurale, sociologie des campagnes du monde occidental. Paris, Armand colin, 316p.

Lagrave (R-M), 1991. « Discours communs, discours savants sur le rural » in Cahiers de l’IMPSA , pp52-61

Lalèyê (I-P), 1992. « Transdisciplinarité et développement endogène » in Joseph Ki-Zerbo (Sous la direction de). La natte des autres. Pour un développement endogène en Afrique. Dakar, Codesria, pp307-323.

Latouche (S.), 1995. « Le rationnel et le raisonnable : les antinomies du postulat métaphysique de la raison économique. » in Problèmes économiques, n° 2444-2445, pp. 63-79

Latour (B.), 1997. « Des sujets récalcitrants. Comment les sciences humaines peuvent- elles devenir enfin “dures” ? » in La Recherche, paris, n°301, pp.73-92

Lesourd (M.), 1997. « L’archipel rural africain en mouvement » pp. 363-378 in Gastellu (J-M) et Marchal (J-Y) (éditeurs scientifiques). La ruralité dans les pays du sud à la fin du XXè siècle. Paris, ORSTOM, 768p.

Lévi-Strauss (C.), 1973. Anthropologie structurale deux. Paris, Plon,  450p.

 

Mendras (H.), 1958. « Sociologie du milieu rural », in Georges Gurvitch (dir.), Traité de sociologie. Paris, PUF, 2 Vol.

Mendras (H.), 1967. La fin des paysans. Paris, SEDEIS. Réédition Armand Colin, 1970. 1984, Actes Sud, Suivi d’une postface : « La fin des paysans, vingt ans après ». 1992, Babel.

Mendras (H.), 1971. Sociologie de la campagne française. Paris, PUF, « Que sais-je ? », 124p

Mendras (H.), 1995. Comment devenir sociologue : souvenirs d’un vieux mandarin. Arles, Actes Sud.

Mendras (H.), 2000. « L’invention de la paysannerie, un moment de l’histoire de la sociologie française d’après-guerre » in Revue Française de Sociologie. Vol. 41, n° 3, pp 539-552.

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Niang (M.) (sous la direction de), 2004. Participation paysanne et développement rural. Dakar, CODESRIA, 184p.

Olivier De Sardan (J.-P.), 1995. Anthropologie et développement. Essai en socio-anthropologie du  changement social. Paris, Karthala,  218p

Paul (J.P.) et al., 1994. « Quel système de référence pour la prise en compte de la rationalité de l’agriculteur : du système de production au système d’activité » in Les Cahiers de la Recherche-développement. Paris, n° 39, pp. 7-19

Pélissier (P.), 1966. Les paysans du Sénégal. Les civilisations agraires du Cayor à la Casaamance. Saint-Yrieix, Fabrègue, 928p.

Petit (M.), 1981. « Théorie de la décision et comportement adaptatif des agriculteurs » in Formation des agriculteurs et apprentissage de la décision. Dijon, INRA, pp.1-36

Pourtier (R.), 1991. « Derrière le terrain, L’Etat » in Histoire de géographes, Chantal Blanc-Pamard éd. Paris, éditions du CNRS, pp. 91-102.

Robert (M.), 1986. Sociologie rurale. Paris, PUF, Que sais-je ? n°2297, 124p.

Sall (B.), 1993. De la modernité paysanne  en Afrique. Le Sénégal. Paris, l’Harmattan, 252p.

Vinck (D.), 1995. Sociologie des Sciences. Paris, Armand Colin, 304p.

Weber (M.), 1965. Essai sur la théorie de la science. Paris, Plon, 537p.  

Zaoual (H.), 1992. « La méthodologie des sites symboliques » in Quiproquo culture et développement, vol 3, n°10

 

 

 

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29 septembre 2007 6 29 /09 /septembre /2007 17:01

                 

UNIVERSITE GASTON BERGER DE SAINT-LOUIS

 UFR DE LETTRES ET SCIENCES HUMAINES

 

 

 

 

 

                                **********

 Formation doctorale : Etudes sociologiques

 

SUJET: LES DYNAMIQUES DE TRANSFORMATION DES SYSTEMES      AGRAIRES DU BASSIN ARACHIDIER SENEGALAIS. LE CAS DU TERROIR DE NIKHAR

Thèse pour l’obtention du Doctorat de troisième cycle en sociologie rurale

Présentée et soutenue publiquement le 15 Décembre 2004 par Monsieur Bouna Ahmeth Fall à l’amphithéâtre Madické Diop de l’UGB devant le jury suivant :

 

Boubacar Ly, Maître de conférence en sociologie à l’UCAD, Président du jury

Issiaka-Proper Lalèyê, Professeur Titulaire en anthropologie et en épistémologie, Directeur de thèse et rapporteur

Adama Diaw, Professeur Titulaire en sciences économiques à l’UGB, examinateur

Samba Traoré, Professeur Titulaire en sciences juridiques à l’UGB, examinateur

Oumar Diop, Chargé d’enseignement en Géographie à l’UGB, examinateur

Désiré Yandé Sarr, Titulaire d’un PH.D. en Sociologie rurale, Chercheur à world Vision Sénégal, examinateur

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2 juillet 2007 1 02 /07 /juillet /2007 11:54

Université Gaston berger de Saint-Louis

Ufr de Sciences économiques et de gestion

Filière Gestion D’Entreprise agricole

Troisième Année

                                                     Année académique 2006-2007

Cours Dr. Bouna Ahmeth Fall

                                 Examen Première session

                                Mardi 19 Juin 2007 8H30-11H30

 

 

 

 

Veuillez répondre à cette question de synthèse par une argumentation assortie d’une réflexion critique, répondant à la problématique donnée dans l’intitulée, en faisant appel à vos connaissances personnelles et acquises dans le cours. Evitez toute considération sans rapport explicite avec la question. Veuillez également composer une introduction, un développement et une conclusion en sautant à chaque fois une ligne. Il sera tenu compte dans l’évaluation de la clarté de l’expression et du soin apporté à la présentation.

                   

                     QUESTION DE SYNTHESE

 

 

En quoi l’idée d’anthropisation s’applique-t-elle à toute intervention des sociétés humaines sur les éléments naturels ?

 

 

                                  Bonne réflexion

 

 

 

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